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Extrait d’un article sur les jeux :
source : www.inaglobal.fr/jeu-video/article/les-jeux-sociaux-un-marche-dynamique-et-convoite
l apparaît enfin que les bénéfices engrangés par les jeux sociaux suscitent les convoitises du réseau social Facebook. Ce dernier impose depuis juillet 2011 sa propre monnaie virtuelle, qui permet à ses utilisateurs d’échanger leur argent contre des « crédits Facebook », utilisables ensuite lors des achats sur les jeux sociaux. De cette manière, l’entreprise de Mark Zuckerberg récupère 30 % du montant des transactions effectuées sur sa plateforme, pour un chiffre d’affaires estimé à 338 millions d’euros en 2011, contre 101 millions en 2010.
Le développement de nouveaux terminaux tels que les smartphones ainsi que le succès des réseaux sociaux semblent ouvrir des perspectives de plus en plus grandes pour les jeux sociaux, dont les revenus devraient atteindre les 5 milliards de dollars en 2015, contre 1 milliard de dollars en 2010 selon Parks Associate[+]. Malgré cela, des doutes apparaissent quant à la viabilité à long terme du modèle économique du « free to play ». Certains évoquent même la création d’une nouvelle bulle spéculative, qui trouverait sa source dans une valorisation trop importante des sociétés comme Zynga. Il semble à cet égard que les investisseurs soient restés prudents lors de l’entrée en bourse de la start-up californienne, puisque celle-ci a perdu 5 % de sa valeur le jour de son introduction.
Jeux online -
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source : www.inaglobal.fr/jeu-video/article/les-jeux-sociaux-un-marche-dynamique-et-convoite
l apparaît enfin que les bénéfices engrangés par les jeux sociaux suscitent les convoitises du réseau social Facebook. Ce dernier impose depuis juillet 2011 sa propre monnaie virtuelle, qui permet à ses utilisateurs d’échanger leur argent contre des « crédits Facebook », utilisables ensuite lors des achats sur les jeux sociaux. De cette manière, l’entreprise de Mark Zuckerberg récupère 30 % du montant des transactions effectuées sur sa plateforme, pour un chiffre d’affaires estimé à 338 millions d’euros en 2011, contre 101 millions en 2010.
Le développement de nouveaux terminaux tels que les smartphones ainsi que le succès des réseaux sociaux semblent ouvrir des perspectives de plus en plus grandes pour les jeux sociaux, dont les revenus devraient atteindre les 5 milliards de dollars en 2015, contre 1 milliard de dollars en 2010 selon Parks Associate[+]. Malgré cela, des doutes apparaissent quant à la viabilité à long terme du modèle économique du « free to play ». Certains évoquent même la création d’une nouvelle bulle spéculative, qui trouverait sa source dans une valorisation trop importante des sociétés comme Zynga. Il semble à cet égard que les investisseurs soient restés prudents lors de l’entrée en bourse de la start-up californienne, puisque celle-ci a perdu 5 % de sa valeur le jour de son introduction.
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